Il y a un petit peu plus d'un mois, je mettais le cap sur le Jura pour rencontrer les CE1 de l'école d'Orgelet et leur maître. Ils m'avaient écrit, je leur avais écrit aussi et nous étions tous impatients de nous voir en chair, en os... et en bonnet !
En effet, ceux qui me connaissent savent que la saison des bonnets dure longtemps avec moi (rudesse du climat grenoblois oblige...) : elle commence en octobre pour ne se terminer parfois qu'en mai, s'il ne permet pas de faire ce qu'il nous plaît (heureusement qu'en montagne, même en plein été, je peux continuer d'en porter).
Pour tenir sur le long terme, je suis bien obligée d'en avoir "plusieurs".
Bref ! Pour le Jura, je décidai donc d'emporter avec moi mon compagnon de prédilection cet hiver :
En effet, ceux qui me connaissent savent que la saison des bonnets dure longtemps avec moi (rudesse du climat grenoblois oblige...) : elle commence en octobre pour ne se terminer parfois qu'en mai, s'il ne permet pas de faire ce qu'il nous plaît (heureusement qu'en montagne, même en plein été, je peux continuer d'en porter).
Pour tenir sur le long terme, je suis bien obligée d'en avoir "plusieurs".
Bref ! Pour le Jura, je décidai donc d'emporter avec moi mon compagnon de prédilection cet hiver :
Alors quand j'ai découvert cette semaine ce que les petits écrivains en herbe d'Orgelet avaient glissé au détour de l'une de leurs magnifiques illustrations, j'ai été comblée !
Quel beau cadeau !
Affublé d'un aussi beau bonnet, c'est sûr que notre Parisien va rapidement s'adapter au Jura...
A vous tous, les enfants, Thierry, Édith, je n'ai qu'un mot à dire : merci !
Grâce à vous, mon cher bonnet bleu occupera désormais une place à part dans ma... collection (voilà, le mot est lâché !)